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NOS RESTES
18 mars 2007

je ne veu pas y aller, je ne veu pas y rester, je n' aurais jamais du venir.faite abstraction des fautes d' ortographe svp.

voJe ne voulais pas y aller, jusqu' au coup de file de N, elle me dit, "vient B pleur!".
Alors je ferme l' ordinateur, je fait le trajet à pied, je passe par le Night Shop me prendre un demis et une boîte de bonbon à la menthe, le merveilleux couple. Je marche, passe à côté du palais de justice, prend des petites rue pour éviter l' avenue Louise, je marche sur la chaussée de charleroi, dans ma tête beaucoups de choses se bouscule, des rencontre que j' apréhende, je garde mon carnet rouge en main au cas ou un début de phrase m' arrive au bout des doigts pour mon projet musicale. J' arrive devant l' erg, je vais au rez de chaussée, je cherche un visage connu, beaucoups de visage inconnu, ce n' est pas l' aire qui est renouvelé, ce sont juste les visage. Dans ces locaux j' ai l' impression, que tout restera paralysé, il y à quelques choses dans ces locaux , des souvenir d' anticréativitée .
Soit soit, je monte à l' étage, je croise je ne sais plus qui en premier, alors dans le désordre, un group de gens que je connais bien de visage, mais dont je suis incapable de me rappeler de leurs nom, je les salue, ça me fait plaisir de les croiser, j' aimerais leurs parler. Puis un grand type avec des grosse rouflaquette me dit bonjour, c' est la première fois que c' est aussi chaleureux, il dit me connaître, il me dit , "tu est le danseur de festen et tu prepare un projet slam avec noza", je lui répond, "je débarque , tu connais déjà tout de ma vie" petit rire, on à plus rien à se dire,F apparaît  N débarque avec son pul bleu clair, je retient mieu le bleu que les nom. Je lui dit distraitrement bonjour, elle cause avec d' autres gens,  je lui demande ou sont les autres, elle me dit au fond, je dit bonjour à B, N,  et d' autre que je connai pas... Plus de vin. Crêpe? non .A Me parle de son cours de gravure, c'est du despotissme me dit elle. Elle m' emmène voir les traveaux de ses étudiants, il y à des petites gravure de personnage qui me font pensé à Matt Konture, les gravure de Nathalie tout au dessus, des gravures proches de je sais plus qui du fremok, des extrait de roman photo. D passe en coup de vent et m' embrasse au vol... Je croise J , content de le voir, il me parle de notre projet de dessin animé avec N, il me parle de l' atelier d' animation cette année, il me dit que c' est l' explosion, que de bonne choses. Je croise Y, qui à l' aire de me repprocher de ne pas être venu au Séminaire, je croise S qui me parle de plintub et de nos restes et qui aimerait faire un fanzine entre les deux, Pas trop sérieux, ni trop de bite, je suis partant, il me montre son boulot sur les muscles, j' aime bien, j' aimerais encore plus si il en faisait une bible. Je retrouve les autres, B voi une bouteille de Jack Daniels, on l' à tous vu, comme une apparition de vierge qui pleurerait des larmes de sang, on sort devant l' erg, on attend , le groupe se fait et se défait, A part rejoindre les autres à la barrière (j' aurais voulu passer une soirée avec eux), nous on passe à un magasion de nuit , un demis une chimay pour N et moi. Dans la voiture le petit frere de F nous parle de son agression, la même que F m' avis parlé quelques temps au paravant, Le petit frere de F fait du bien, c' est pas un de ces cretin boutonneux qui veule se donner un genre, non lui il à la classe de la jeunesse, N lui insufle son savoir dans la matière,   elle lui fait part de son vécu, 20 filles dans une école que de mec. On arrive, je veu pas y aller, j' ai reçu un sms de L qui me dit qu' il y à une fafare au café murmure pres de flagey, j' aurais voulu m' échapper par là , Je dit aux autres que notre code si on s' emmerde et qu' on veu s' échapper, on se gratte les cheveux, ça fait rigoler , moi je suis trés sérieux. Soit soit on rentre , je bois vite ma biere et ma chimay, je cause avec Y, il connait Soby de la mj, c' est rigolo, le petit frere de F qui me parle de Rhode saint genese, il sais ou j' ai habité, dans ce cul de sac, c' est marrant, F connai la taverne rodéo, chuis mort de rire. je croyai que c' etait juste moi qui connaiscait cette ennuiante campagne. On est debout car trop de monde, B danse, me cause de tout et de rien, moi je danse pas, je veu me barrer.......................une fille me cause, de son projet en vidéo, pélicule récupéré, remonté, ... ...................................................une autres me parle,    alors que elle était plutot muette pendant toutes ses années......................................LE lubrifiant social marche bien, ça me gave...................................................................................................
J' ai plus envie de raconter ces millier de petites choses qui m' ennuie, ces regards , ces brides de discussions à l' eau,ces frotage, ça m' énerve d' écrire. JE sais je suis fort dans ma tete, ce n' est peut etre pas ce que tu voulais N Mais bon voilà, j' ai du mal à avoir un regard scientifique sur les choses.... On rentre N , F le petit frer de F et ma tête, on papote devant nbous un groupe de  cretin qui sorte de la soire shotte dans tout ce qui à sur le trottoire, il jette sur la tete de f quelque chose qui fait mal à la tete de F. des morts né alcolisé, j' y bouterais bien le feu à ces inutilitées. on marche avenue louise, le petit frere de F dit " c' est la rue des putte" , on dit au revoir à F et son petit frere, F voi flou, son petit frere le raccompagne (là je ris intérieurement, F avec ta grande gueule ! et F sans rancune HEIN?) Voilà on rentre à la maison, je ,  je sais plus trop, brossage de dent...  puis le noir.

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