je ne veu pas y aller, je ne veu pas y rester, je n' aurais jamais du venir.faite abstraction des fautes d' ortographe svp.
voJe ne voulais pas y aller, jusqu' au coup de file de N, elle me dit, "vient B pleur!".
Alors
je ferme l' ordinateur, je fait le trajet à pied, je passe par le Night
Shop me prendre un demis et une boîte de bonbon à la menthe, le
merveilleux couple. Je marche, passe à côté du palais de justice, prend
des petites rue pour éviter l' avenue Louise, je marche sur la chaussée
de charleroi, dans ma tête beaucoups de choses se bouscule, des
rencontre que j' apréhende, je garde mon carnet rouge en main au cas ou
un début de phrase m' arrive au bout des doigts pour mon projet
musicale. J' arrive devant l' erg, je vais au rez de chaussée, je
cherche un visage connu, beaucoups de visage inconnu, ce n' est pas l'
aire qui est renouvelé, ce sont juste les visage. Dans
ces locaux j' ai l' impression, que tout restera paralysé, il y à
quelques choses dans ces locaux , des souvenir d' anticréativitée .
Soit
soit, je monte à l' étage, je croise je ne sais plus qui en premier,
alors dans le désordre, un group de gens que je connais bien de visage,
mais dont je suis incapable de me rappeler de leurs nom, je les salue,
ça me fait plaisir de les croiser, j' aimerais leurs parler. Puis un
grand type avec des grosse rouflaquette me dit bonjour, c' est la
première fois que c' est aussi chaleureux, il dit me connaître, il me
dit , "tu est le danseur de festen et tu prepare un projet slam avec
noza", je lui répond, "je débarque , tu connais déjà tout de ma vie"
petit
rire, on à plus rien à se dire,F apparaît N débarque avec son pul
bleu clair, je
retient mieu le bleu que les nom. Je lui dit distraitrement bonjour,
elle cause avec d' autres gens, je lui demande ou sont les
autres, elle me dit au fond, je dit bonjour à B, N, et d' autre
que je
connai pas... Plus de vin. Crêpe? non .A Me parle de son cours de
gravure, c'est du despotissme me dit elle. Elle m' emmène voir les
traveaux de ses étudiants, il y à des petites gravure de personnage
qui me font pensé à Matt Konture, les gravure de Nathalie tout au
dessus, des gravures proches de je sais plus qui du fremok, des extrait
de roman photo. D passe en coup de vent et m' embrasse au vol... Je
croise J , content de le voir, il me parle de notre projet de dessin
animé avec N, il me parle de l' atelier d' animation cette année, il me
dit que c' est l' explosion, que de bonne choses. Je croise Y, qui à l'
aire de me repprocher de ne pas être venu au Séminaire, je croise S qui
me parle de plintub et de nos restes et qui aimerait faire un fanzine
entre les deux, Pas trop sérieux, ni trop de bite, je suis partant, il
me montre son boulot sur les
muscles, j' aime bien, j' aimerais encore plus si il en faisait une
bible. Je retrouve les autres, B voi une bouteille de Jack Daniels, on
l' à tous vu, comme une apparition de vierge qui pleurerait des larmes
de sang, on sort devant l' erg, on attend , le groupe se fait et se
défait, A part rejoindre les autres à la barrière (j' aurais voulu
passer une soirée avec eux), nous on passe à un
magasion de nuit , un demis une chimay pour N et moi. Dans la voiture
le petit frere de F nous parle de son agression, la même que F m' avis
parlé quelques temps au paravant, Le petit frere de F fait du bien, c'
est pas un de ces cretin boutonneux qui veule se donner un genre, non
lui il à la classe de la jeunesse, N lui insufle son savoir dans la
matière, elle lui fait part de son vécu, 20 filles dans une
école que de mec. On arrive, je veu pas y aller, j' ai
reçu un sms de L qui me dit qu' il y à une fafare au café murmure pres
de flagey, j' aurais voulu m' échapper par là , Je dit aux autres que
notre code si on s' emmerde et qu' on veu s' échapper, on se gratte les
cheveux, ça fait rigoler , moi je suis trés sérieux. Soit soit on
rentre ,
je bois vite ma biere et ma chimay, je cause avec Y, il connait Soby de
la mj, c' est rigolo, le petit frere de F
qui me parle de Rhode saint genese, il sais ou j' ai habité, dans ce
cul de sac, c' est marrant, F connai la taverne rodéo, chuis mort de
rire. je croyai que c' etait juste moi qui connaiscait cette ennuiante
campagne. On est debout car trop de monde, B danse, me cause de tout et
de rien, moi je danse pas, je veu me
barrer.......................une fille me cause, de son projet en
vidéo, pélicule récupéré, remonté, ...
...................................................une autres me
parle, alors que elle était plutot muette pendant toutes
ses années......................................LE lubrifiant social
marche bien, ça me
gave...................................................................................................
J'
ai plus envie de raconter ces millier de petites choses qui m' ennuie,
ces regards , ces brides de discussions à l' eau,ces frotage, ça m' énerve d' écrire.
JE sais je suis fort dans ma tete, ce n' est peut etre pas ce que tu
voulais N Mais bon voilà, j' ai du mal à avoir un regard scientifique
sur les choses.... On rentre N , F le petit frer de F et ma tête, on
papote devant nbous un groupe de cretin qui sorte de la soire
shotte dans tout ce qui à sur le trottoire, il jette sur la tete de f
quelque chose qui fait mal à la tete de F. des morts né alcolisé, j' y
bouterais bien le feu à ces inutilitées. on marche avenue louise, le
petit frere de F dit " c' est la rue des putte" , on dit au revoir à F
et son petit frere, F voi flou, son petit frere le raccompagne (là je
ris intérieurement, F avec ta grande gueule ! et F sans rancune HEIN?)
Voilà on rentre à la maison, je , je sais plus trop, brossage de
dent... puis le noir.